Une alerte est émise par les autorités brésiliennes aux touristes ayant l’intention de rapporter des animaux exotiques. Cette mise en garde est soutenue par la Fondation 30 Millions d’Amis de ce pays du football, le Brésil, qui est aussi un paradis des espèces animales.
Avis aux amateurs de football pour ne pas songer à emporter ces espèces protégées. Le thème de la campagne de sensibilisation émis par ces autorités souligne par ailleurs qu’ « au Brésil, ne repartez pas avec un carton rouge, mais seulement avec de bons souvenirs ! »
Le véritable paradis de la faune sauvage de ce pays, l’État du Rio Grande do Norte, est l’une des douze villes hôtes de la coupe du monde. Il fallait respecter les 10 règles d’or établies par les services de l’Ibama pour éviter… la prison !
Dérive aux règles, passible d’emprisonnement… jusqu’à un an !
Éviter des problèmes et même une sanction pénale aux touristes assistant à la coupe du monde, tel est le but de la liste de règles établies par cet institut brésilien de l’environnement et des ressources naturelles renouvelables. Car il est interdit d’acheter les animaux exotiques ou les produits artisanaux confectionnés à partir d’animaux. Il en est de même pour les produits contenant des plumes, des ailes ou des dents. Toutes activités liées à l’exploitation des animaux sont qualifiées d’illégales en leur portant préjudice. La chasse et la consommation des espèces comme le singe, les oiseaux, les serpents, les iguanes, les scorpions, les araignées sont formellement interdites. Ce service condamne aussi le prélèvement de coraux facilement dissimulable dans les bagages…
L’encontre envers ces règles est passible jusqu’à un an d’emprisonnement. De telles dispositions sévères sont prises pour atténuer la vente annuelle de 250 000 animaux faits par des trafiquants. Douze aéroports sont ainsi sous étroite surveillance en amont de la coupe du monde.